Triathlon Royan 2025
Mon reportage — l’émotion, l’effort, la vie derrière la course
À travers mon objectif, je ne me contente pas de montrer des coureurs qui enchaînent la natation, le vélo et la course : je capte leurs souffle, leurs regards, leur détermination. Je saisis les gouttes de sueur sur le front, les mains qui se serrent, l’instant où le cœur ralentit quand la ligne d’arrivée approche, l’élan d’un bras levé ou l’étreinte spontanée entre coureurs et proches.
Chaque image raconte une histoire : celle du triathlète qui, au petit matin, plonge dans la mer Atlantique ; celle de l’effort solitaire sur le vélo, dos au vent, guidé par la côte ; celle de la course finale en bord de plage, où chaque foulée pèse mais où l’espoir grandit. Et surtout : celle de l’humanité. Le regard d’un enfant encouragé, la main tendue d’un ami, le sourire d’un finisher exténué mais fier.
Mon reportage veut être vrai, sans artifice. Il cherche à restituer la verticalité du défi : la peur, l’attente, le dépassement. Puis la libération : la joie, l’émotion, la fierté. À mes yeux, le Triathlon de Royan n’est pas juste une course : c’est un moment de vie, intense, profond, partagé.
Je vous invite à plonger dans cet univers, sentir le sel sur la peau, entendre le souffle des athlètes, voir la mer au loin, et, pourquoi pas, y trouver votre propre désir de défi.